À mesure que le départ approche, la préparation de notre voyage au Cambodge prend enfin une tournure concrète. Après les heures passées à bâtir l’itinéraire, vérifier l’actualité et jongler avec les plans B, on entre dans une phase que j’adore : celle où l’on commence à réserver pour de vrai. Et soudain, ce voyage qui semblait encore un peu théorique se transforme en dates, en horaires… et en billets bien réels.
Parmi les premières réservations, il y avait un trajet qui me tenait particulièrement à cœur : le ferry entre Sihanoukville et Koh Rong Sanloem.
Pour ce séjour, nous avons choisi de loger au Coco Bungalows, à Saracen Bay, qui nous ont recommandé la compagnie GTVC. Leur avantage ? La jetée utilisée par GTVC est la plus proche de l’hôtel, ce qui simplifie énormément l’arrivée.Sur Koh Rong Sanloem, il n’y a ni route, ni tuk-tuk pour se déplacer. Tout se fait à pied, par bateau ou via de petits transferts organisés par les hébergements. L’idée est donc de demander directement aux Coco Bungalows de nous envoyer quelqu’un nous chercher à la jetée GTVC. Avec les sacs, la chaleur et le voyage dans les jambes, ce petit coup de pouce logistique fera toute la différence.Plutôt que de passer directement par chaque compagnie, nous avons utilisé la plateforme 12Go Asia pour réserver nos billets. En quelques clics, nous avons pu :
Résultat : nos billets de ferry sont confirmés, imprimables ou disponibles sur smartphone, et nous savons exactement à quelle heure quitter Sihanoukville pour rejoindre notre petit coin de paradis.
L’autre gros morceau de cette phase de réservation, c’était le trajet entre Kratie et Kep.
Et c’était un défi tout court, que ce soit en transport privé ou en transport partagé.Concrètement, nous avions deux scénarios :
On a donc tablé sur la sécurité : moins de correspondances à gérer, moins de stress, même si cela implique une petite part d’improvisation à la fin.C’est là que 12Go Asia est de nouveau entré en scène, avec un van partagé reliant Kratie à Kampot. Le trajet reste long, mais il est désormais cadré et réservé, et surtout :
Il restera ensuite à voir avec l’hôtel de Kep s’ils peuvent nous envoyer une voiture jusqu’à Kampot. Sinon, il faudra se débrouiller pour trouver un taxi ou un tuk-tuk sur place, ce qui ne devrait pas être trop compliqué dans une ville aussi fréquentée par les voyageurs.
Ces deux réservations ont été l’occasion de tester réellement 12Go Asia.
Pour l’instant, mon retour est très positif :
Est-ce que c’est la solution la moins chère dans tous les cas ? Pas forcément. Mais pour des voyageurs peu expérimentés, qui veulent sécuriser certains trajets un peu sensibles (longues distances, horaires précis, connexions), c’est un bon compromis entre budget, simplicité et tranquillité d’esprit.
On ne prétend pas que tout est parfait dans notre préparation (on a déjà fait notre première erreur de débutants au Cambodge…), mais 12Go nous aide clairement à sécuriser certains trajets.
Les premières réservations faites, la suite de la préparation va se jouer pendant mon congé entre Noël et Nouvel An. L’idée est de profiter de ce temps calme pour avancer sur tout ce qui demande un peu de concentration… mais qui nous évitera du stress une fois au Cambodge.
Première tâche au programme : les e-Visas. L’objectif est simple :
On fera la demande directement sur le site officiel des e-Visas pour le Cambodge.
C’est aussi l’occasion de vérifier, une dernière fois, que nos dates, numéros de passeport et itinéraires sont bien cohérents. Quand on s’apprête à partir à près de 9 800 km de chez nous — presque 10 000 km, tout de même, on aime bien que tout soit carré avant d’embarquer.
Pour un aperçu plus global des démarches avant le départ (papiers, argent, sécurité…), j’ai regroupé l’essentiel dans A savoir avant de partir au Cambodge.
Ensuite, il y aura toute une série de petites questions pratiques à régler avec les hôtels déjà réservés. Typiquement :
Ce genre d’échanges avec les hébergements permet aussi de prendre la température du pays : réactivité, qualité de l’anglais, conseils sur place… c’est souvent un bon indicateur de ce qui nous attend à l’arrivée.
Autre étape prévue pendant les fêtes : l’achat en ligne de notre pass pour Angkor sur le site officiel. Au départ, nous pensions prendre le pass 3 jours à 62 USD. Mais en regardant les tarifs officiels, on s’est vite rendu compte que le pass 7 jours ne coûte que 72 USD, soit 10 USD de plus seulement pour plus du double de jours possibles sur le site. Du coup, la réflexion a été assez rapide :
tant qu’à faire, autant ne pas se limiter et opter pour le pass 7 jours, sans trop se poser de questions. L’idée, là aussi, est de gagner du temps :
Pour un site aussi vaste qu’Angkor, un pass 7 jours nous semble être le bon compromis : assez de temps pour explorer à notre rythme, sans transformer le séjour en marathon.
Enfin, il reste une réservation qui me tient particulièrement à cœur : une journée en mer avec Kep Adventure. Le projet :
Ce ne sera pas une surprise à proprement parler (difficile de cacher ça, surtout si j’en parle noir sur blanc ici), mais ce sera un cadeau que je financerai sur mon budget perso, et pas avec le compte commun. Une façon symbolique de marquer le coup. Pour être sûre d’avoir de la place, surtout si nous voulons privatiser le bateau, l’idée est de réserver bien avant notre arrivée. Là encore, la période entre Noël et Nouvel An sera idéale pour finaliser tout ça.
Avec ces étapes, notre voyage commencera à ressembler à un puzzle dont les pièces se mettent enfin en place : les grandes lignes sont fixées, les points sensibles (trajets, transferts, visas) seront sécurisés, et il ne restera plus qu’à peaufiner le reste : activités sur place, bonnes adresses, derniers ajustements en fonction de l’actualité.
En attendant, chaque nouvelle réservation est un petit rappel : bientôt, tout cela ne sera plus une suite de mails et de confirmations, mais des paysages, des rencontres et des souvenirs bien réels.